Test Hebie Schutzfinger : Ce sont les petites choses qui optimisent les grandes. Même à vélo. Pour les navetteurs quotidiens et les cyclistes de tourisme, par exemple, tout va bien tant qu'ils ne se mouillent pas lorsqu'il pleut. Pas d'en bas non plus. Mais les ailes sont souvent si courtes que les flaques d'eau se transforment en douches pour les pieds ; les nouvelles chaussures pour le bureau sont vite abîmées.
C'est là que le doigt protecteur d'Hebie entre en jeu. Il allonge non seulement le garde-boue comme un garde-boue : il s'élargit vers le bas et, comme il reste dur contre le vent et la pression des embruns, il garantit également que les pieds et les chaussettes sont vraiment secs, ce que les garde-boue ne peuvent souvent pas faire. Mais non seulement nous devons rester au sec. Les vélos électriques équipés des moteurs centraux populaires doivent être protégés des éclaboussures d'eau si possible. La pièce en plastique de 23 centimètres de long est destinée à prévenir d'éventuels "dégâts des eaux" sur le moteur même lors des pires averses.
Agréable pour le sale boulot
Grâce au plastique souple, le doigt de protection s'adapte à tous les garde-boue de 35 à 65 millimètres de large. Pour un maintien ferme, il n'est pas simplement fixé comme de nombreux garde-boue, mais fermement fixé au garde-boue avec deux boulons à vis. Magnifique : Un petit rabat de fermeture - "l'ongle optique" - recouvre les deux écrous après assemblage rapide, l'ensemble semble alors avoir été conçu d'une seule pièce.
Si vous voulez être gentil avec la personne derrière vous : bien sûr, le doigt chic s'adapte également sur le garde-boue arrière - à un bon 50 grammes (avec les pièces de fixation), même les monstres de poids peuvent se le permettre.
Conclusion Hebie Schutzfinger :
Pour 9,95 euros, c'est un sacré paquet de fonctionnalités pour le prix. Rapidement installé et efficace, le doigt de protection Hebie rend la prochaine balade sous la pluie bien plus supportable.
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