Cyclisme : Tony Martin (etixx-Quick Step) participe à quelques courses pavées en 2016. Le joueur de 30 ans pense à haute voix à se lancer dans les difficiles courses d'un jour au printemps avec des ambitions pour l'avenir.
Avec sa brillante victoire sur l'étape pavée du Tour de France à l'été 2015, Tony Martin a prouvé qu'il avait du talent pour ce type de course. En 2016, il aimerait explorer davantage si les classiques du printemps pourraient être un terrain pour des victoires à l'avenir. Martin l'a annoncé en marge du camp d'entraînement etixx-Quick Step à Calpe, en Espagne.
"Je voulais essayer quelque chose de nouveau et j'ai parlé à la direction de l'équipe à la fin de la saison dernière. Nous avons convenu qu'en 2016 je piloterai des classiques et des semi-classiques belges », déclare Martin. Dans un premier temps, des lancements sont prévus à Omloop Het Nieuwsblad et Dwars Door Vlaanderen. "Si tout se passe bien, j'essaierai d'être nominé pour Gand-Wevelgem, le Tour des Flandres et Paris-Roubaix." Martin admet : "Je ne peux pas dire que je veux gagner ces courses mais je veux me tester et voir comment je faire dans ce type de course.
Martin veut d'abord servir l'équipe, qui participe traditionnellement de manière ambitieuse aux classiques du printemps et a célébré de grands succès dans le passé avec Tom Boonen, Nikki Terpstra and Co. « Le printemps 2016 sera un test. Si les signaux sont bons, j'aimerais continuer sur cette voie. La première chose à faire maintenant est d'acquérir de l'expérience », Martin baisse les attentes.
Ces dernières années, il y a eu des spéculations quant à savoir si Martin pourrait devenir candidat à des tournées nationales de trois semaines en modifiant la formation. L'orientation vers les classiques du printemps met fin pour l'instant à ces considérations.
Les autres objectifs de l'Allemand en 2016 sont une autre victoire d'étape dans le Tour de France et la quatrième victoire dans un championnat du monde de contre-la-montre. Le contre-la-montre des Jeux olympiques de Rio de Janeiro, en revanche, pourrait être trop sélectif pour Martin, qui vit à Mannenbach, en Suisse.
Laisser un commentaire