Cyclisme : C'était serré ! Mais à l'issue de la 18e étape de la Vuelta a Espana, les échappés ont su tenir bon devant le peloton pressé. Jelle Wallays (Lotto Soudal) peut donc fêter le plus grand succès de sa carrière.
Les équipes de sprinteurs jouent
En fait, tout s'est déroulé comme d'habitude : sur l'étape plate de 186,1 kilomètres entre Ejea de los Caballeros et Lleida, un groupe de tête de trois hommes s'est formé. Le peloton a maîtrisé les échappées tout au long de la course - vous pensiez ! Mais ensuite tout s'est passé différemment. Alors que Jetsé Bol (Burgos BH) le rythme de ses deux collègues Jelle Wallais (Lotto Soudal) et Sven Erik Bystrom (UAE Team Emirates) ne pouvait plus suivre, la panique s'est lentement propagée dans le peloton. Si le groupe de tête ne s'est jamais vraiment laissé distancer, il possédait tout de même un peu plus d'une minute d'avance à une dizaine de kilomètres de l'arrivée. Il devrait être serré. Putain serré. Parce qu'il y avait de petits écarts à l'avant du peloton, l'Autrichien Lukas Postberger (Bora-hansgrohe) pour son capitaine Peter Sagan un trou pour sprinter le concurrent Elia viviani (Planchers Quick-Step). Le champion du monde a attaqué dans les 400 derniers mètres, mais il n'a pu passer que la roue arrière des deux échappés - mais pas plus. Alors que Jelle Wallays bat Sven Erik Bytröm au sprint, les équipes de sprint sont en colère en arrière-plan. Aujourd'hui, ils ont joué !
Quelle sensation ! Le peloton s'est déformé à Jelle Wallays remporte l'étape ! #LaVuelta18 pic.twitter.com/hTJXpqUEXn
— Eurosport Pays-Bas (@Eurosport_NL) 13 septembre 2018
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